Les 20 et 21 janvier, nous avons eu la joie de se retrouver à Courtenay pour un week-end « Guérison et connaissance de soi ». Deux jours de pause pour vivre un temps fraternel, se remplir de Dieu, se laisser transformer, guérir…en bref, vivre ensemble la joie du ciel ! Et comme elle est grande cette joie.
Nous avons toujours la chance d’être accueillis chez Raphael où la place devient limitée devant le succès des week-ends anuncio. Pour cette raison, les temps fort du week-end ont été délocalisés dans des espaces plus grands afin de pouvoir accueillir tout le monde. Les temps de louange, enseignements et prières se sont déroulés dans la salle paroissiale de Courtenay et les repas dans les salles de réfectoires d’une école primaire. Courtenay se plie en quatre pour accueillir Anuncio !
Sachez donc que vous pouvez continuer à inviter largement autour de vous. Car si les week-ends Anuncio sont destinés en particulier à ceux engagés dans l’Amicale, ils s’adressent aussi à tous ceux qui cherchent un lieu pour grandir à la suite du Christ. C’est donc avec beaucoup de joie que nous accueillons des nouveaux visages.
Vivre un week-end avec Anuncio c’est d’abord se mettre à l’écart de l’agitation de nos vies pour se retrouver, retrouver le Seigneur et se mettre à l’écoute sa parole.
Pour ma part, ce que j’apprécie le plus dans ces temps fort, c’est la louange. Même si « rentrer » dans la louange peut s’avérer souvent laborieux, elle nous décentre de nous-même, de nos vies et de nos soucis pour se tourner vers Celui qui est toute notre joie. La louange m’a appris que nous avions toujours 1001 raisons de rendre grâce à Dieu. Et j’ai découvert avec émerveillement qu’un petit « merci » en appelle toujours un plus grand… Dire merci à Dieu pour ce qu’Il nous donne mais aussi rendre grâce pour ce qu’Il est. Alors dans ce cas, la louange n’a plus aucune limite, pas même dans les tempêtes de nos vies.
Samedi, nous avons été invité par le père Philippe à demander à Dieu la grâce de découvrir notre identité véritable, que Lui seul pour nous révéler. Comme Jésus a reçu du Père son identité de « Fils bien-aimé » le jour de son Baptême, au lieu le plus bas de l’univers. C’est donc dans nos failles, nos blessures que nous pouvons entendre Jésus nous dire qui nous sommes. Pour la plupart d’entre nous, il n’y aura eu ni scoop ni grande révélation, seulement la certitude de se savoir profondément aimer. Et c’est bien ce regard d’amour qui transforme et qui fait vivre.
Après la restauration de notre être en Dieu, soit les grâces de libération et guérison que nous avons pu recevoir, nous sommes appelés à devenir les témoins de son amour dans le monde !